dimanche 1 janvier 2012

Le jour de plus Court de l'année




Voici revenu l’hiver et ses frimas. Un petit break en Bretagne Nord s’impose.


Au calme, vous pourrez profiter des quelques heures de jour pour faire une bonne ballade sur les plages désertées.




Le moment de faire une cure de coquilles Saint Jacques et d’autres coquillages savoureux.



 
Un bon bol d’air dans un paysage fantastique, rien de tel pour vous revigorer.




Ça donne l’envie de rester un peu plus longtemps, mais d’autres aventures nous attendent…




Bonne année 2012.

samedi 17 décembre 2011

PARIS LUMIERE


Illuminations  de Paris




 


 
 En ces temps de fêtes de fin d’année, qu’il est doux de retrouver son âme d’enfant et d’aller flâner dans les rues illuminées de la Capitale. Les Champs Elysées paraissent un bon départ pour cette ballade nocturne.
 


  
 
 Cela commence, bien sûr, par l’Arc de Triomphe au carrefour de l’Etoile dominant cette grande avenue. Ensuite, il n’y a plus qu’à descendre jusqu’au rond point des Champs Elysées.


 



Cette année, les restrictions obligent, l’éclairage est à basse tension. Ce sont de grands cercles phosphorescents accrochés dans les platanes et qui changent régulièrement de couleur.
 


 
 
 Sur le rond point, des sculptures lumineuses sphériques bleutées se reflètent dans les bassins. 

 



 
L’avenue Montaigne où se trouvent les grands couturiers est parée de bouquets de Gui luminescents du meilleur effet.





Cela ajoute de la profondeur à cette belle avenue baignant alternativement sous le faisceau du projecteur de la Tour Eiffel.

 




 Tout en bas, sur la place de la Concorde, on a installé la Grande Roue, point final de la perspective nocturne.
 



 
 Les magnifiques fontaines d’Hittorf sont ce soir là en eau et les personnages qui les composent semblent vivants sont la lumière des Lampadaires. Sortis des eaux du bassin de La Fontaine des Fleuves s’ébattent joyeusement de jeunes et musculeux  Tritons et des courbes Néréides, sublimant les scènes de baignade l’été au bord des plans d’eaux sous le regard des adultes pour une fois complaisants. 
 


  
 
 
Dans la fontaine des mers, coté Seine, les personnages attendent stoïques qu’on arrètte l’écoulement des eaux afin qu’ils puissent passer enfin la nuit au sec… 

 

  
 
Terminons notre escapade par le pont de la Concorde, histoire de jeter un dernier coup d’oeil vers le pont Alexandre et la Tour Eiffel avant d’aller faire dodo.

 

dimanche 20 novembre 2011

LES INVALIDES à PARIS


LES INVALIDES à PARIS



En ces jours de Novembre où viennent de se terminer les cérémonies de la la commémoration de l’Armistice, nos pas nous emmènent vers le Musée de l’armée, à l’Hôtel des Invalides.

Construit sous Louis XIV, ce monument a servi à son origine à accueillir les soldats mutilés par les guerres. Par la suite, Napoléon, grand pourvoyeur en la matière, donnera à cet édifice tout le lustre qu’on lui connaît aujourd’hui. Reconnaissant, ce dernier abrite d’ailleurs ses cendres.




La silhouette du Dôme imaginé par Mansart se devine dés le Grand Palais, c'est-à-dire de l’autre coté de la Seine.



Une belle perspective en effet qui passe par le Pont ALEXANDRE.




Il faut ensuite traverser une immense esplanade avant que ne se précisent les détails du bâtiment.
Longeant une large avenue, une foule silencieuse nous emmène à grands pas vers cette grande ombre à travers un espace dénudé au forme rectiligne.




Nous voici devant la façade austère garnie de cannons anciens, la gueule tournée vers vous.



Il faut s’arrêter quelques instants pour admirer ces imposantes bouches à feu dont la décoration préfigure l’enfer qu’elles promettent de distribuer.






Nous continuons vers la cour carrée autour de laquelle on a disposé toutes sortes de cannons, des plus anciens à ceux de 14-18.




Peu de gens traverse cette grande cour ou, s’ils le font, le font à grands pas, les autres préférant passer par les coursives plutôt que de déambuler devant la gueule de centaines de cannons même s’ils sont désarmés.




 Nous arrivons ensuite au pied de l’église saint Louis des Invalides qui est un pur chef d’œuvre.




Ce coté là des Invalides est moins glacial que l’entrée coté Seine. Le dôme, cuirassé d’or, renvoie la lumière sur tous les environs.




En ce début d’automne cet or semble se refléter dans le feuillage clairsemé des tilleuls environnant.




Cette église ressemble à un grand mausolée en hommage aux soldats décimés sur les champs de bataille.




Dans son ombre se répètent à l’infini les fenêtres des cellules où sont accueillis les invalides.




Difficile d’exprimer le mélange de sentiments qu’on ressent pendant cette visite. En tout cas, l’architecture de ce lieu en force le respect.




Au loin, l’élégante silhouette de la tour Eiffel semble être gardée par ces fûts menaçants. Sur qu’on ira pas la voler !