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mardi 4 août 2020

Coronavirus

pandémie
Puisque c'est marqué ....

Coronavirus, covid 19, ces mots font frémir le monde entier et sont synonymes de mort et de crise.
C’est difficile à croire et pourtant elle est bien là la pandémie et personne ne semble y échapper. Hier les départements Bretons semblaient miraculeusement épargnés, aujourd’hui on apprend que des foyers sont apparus à PLERIN, ville de l’agglomération de Saint Brieuc. Décidément, ce coin n’est pas épargné : les années passées se sont les algues vertes, les échouages de milliers de cadavres d’araignées, la pollution bacterienne et environnementale de l’eau et de l’air au point d’interdire l’accès aux plages, les puanteurs et les particules ammoniaquées et les micro-morceaux de plastique dernièrement. 
En peu de temps, les infortunés commerçants et hôteliers de Saint Brieuc et ses alentours ont déjà subi les manifestations consécutives aux mouvements sociaux et une insécurité grandissante surtout pour les femmes.

Rue de Saint Brieuc désertée durant la pandémie Covid19

Ils doivent faire face maintenant à 3 mois de confinement où la ville était vide et à une épidémie larvaire qu’une partie de la population n’a pas prise au sérieux.

Ainsi on entend l’une des personnes tout récemment contaminée à Plérin faire son « mea culpa » et dire : "je vais être honnête, je ne pensais pas du tout être touché par ça. Même quand j'ai fait mon test j'étais persuadé de ne pas l'avoir et oui ça peut toucher tout le monde !" (fr3)


Queue devant l'hyper GEANT de Saint Brieuc en régulation de l'affluence des clients face au risque de contamination.

On est attristés de voir ces gérants d’hôtels toujours prêts à vous accueillir qui jadis vous surclassaient dés qu’ils le pouvaient, ces restaurateurs qui vous donnaient à profusion le meilleur et le plus frais au prix le plus bas, ces commerçants généreux et honnêtes, patients et respectueux avec leurs fragiles aînés attendre maintenant quelques rares clients, masqués au fond de leurs boutiques, craignant de contaminer leur clientèle. 

Avec plus de 250 morts, la Bretagne risque bien de voir son bilan s’alourdir si les nouvelles contaminations continuent à augmenter.
Cette cochonnerie de virus non seulement tue mais fait terriblement souffrir comme le témoigne ce rescapé de 74 ans devenu invalide qui « récupère peu à peu ses aptitudes mais ses articulations sont douloureuses et son bras gauche aussi » et qui réapprend à marcher.
Il apparaît donc d’être extrêmement prudent et de préserver les lieux de faible contamination avec l’application des gestes barrières.


Avertissement dans une bouche de METRO

A Paris, dans les transports en commun, c’est application stricte du masque. Dans certains bus, le chauffeur est complètement isolé au point qu’on ne peut même plus valider son titre de transport ni en acheter un. 


 COVID : Aménagement de l’intérieur de BUS RATP
Stickers de distanciation sur les quais





Un  siège sur deux est étiqueté en interdiction de s’asseoir et des marquages au sol définissent la distanciation.   


Contrôle mouvementé dans le BUS 185

C’est la même chose dans le Metro et de fortes amendes (135€) sont distribuées par les zélés nouveaux contrôleurs. Bien sur, on vous avilit mais on ne vous donne pas de masque pour autant ….

Aménagement barrière dans une rame de Métro

La circulation autonome à pied, en trottinette et à vélo est encouragée et de nouveau couloir à vélo on été créer avec un marquage au sol en jaune ce qui fait qu’on y comprend plus rien et que traverser certains couloirs aux heures de pointe revient à traverser l’autoroute à pied un jour de départ en vacances. Les vélos ayant droit de « brûler » les feux tricolores, votre serviteur a bien failli se faire taper par une grosse dame à bicyclette lancée par son poids à vive allure dans une descente et qui l’a traité de « connard » par la même occasion sans même s’arrêter, mais ça c’est la tradition Parisienne.


Mais c'est bien sûr ! 

Finalement, on se fait facilement au port du masque. On accentue son anonymat, on met en valeur ses yeux, on refait des gestes de la main, on se décoiffe pour se saluer. Toute une gestuelle et une mode se met en place pour protéger les autres et se protéger mais surtout pour arrêter cette saloperie de virus. 



Ca c 'est pour ceux qui jetaient  leur protection parterre ...

Alors pourquoi pas se saluer à la D’Artagnan avec de grands gestes ou une révérence. Après tout, la poignée de main et la bise sont apparues il y a tout juste une centaine d’année. Avant, on ne se touchait pas et on se parlait à distance respectueuse.


Matérialisation de File d"attente au parc Montsouris
Distanciation sur le quai du Métro



Mise en place des tables en extérieur sur la rue au Marais à Paris