Festivals et concerts.
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| Fête de l'Huma 1979 (vue de la grande roue) |
Les années 70 ont été marquées
par un rassemblement populaire à la renommée mondiale : le festival de
WOODSTOCK.
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| Fête de l'HUMA 1979 (au pied du grand podium) |
Bien sur, avant, il y avait
bien d’autres rassemblements. Mais ils étaient teintés de couleurs locales où
commerciales, rarement ciblés sur la jeunesse et leur soif de liberté. Il
fallait penser plus large dans un contexte libertaire.
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| Fete de l'HUMA : la scène avant-garde |
Dans cette lignée, certains
mouvements politiques de l’époque réalisaient pendant quelques jours cette
utopie proche de leur mouvance en organisant de grandes fêtes populaires avec
des têtes d’affiche réputées mais aussi laissant la place à de talents en
émergence qui ravissaient les jeunes.
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| Fête du PSU : Mumuse avec les gros ballons |
Ainsi la fête de l’huma et celle du PSU
rassemblaient cette jeunesse de tous bords.
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| Allan STIVELL (Avant-garde Argenteuil) |
Les communes elles-mêmes
accueillaient des artistes correspondant au gout de leurs « jeunes »
au cours de concerts subventionnés.
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| BIJOU en banlieue |
Par la suite, la préférence
s’en est allée vers des festivals uniquement à vocation artistique et festive qui
permettent aujourd'hui à ces artistes de survivre et de se renouveler.
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VINO Athis-Mons
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Les municipalités et les
mouvements politiques n’en continuent pas moins leur participation aux activités culturelles et
festives dans la limite de leur budget (qui ne va pas en s’améliorant …).
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Bill BAXTER en BANLIEUE
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Il est vrai qu’avec
l’arrivée d’internet, on aurait pu croire à une désaffection du public pour ces
activités.
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MAMA-BEA à l'HUMA
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Heureusement cela ne se vérifie pas et rien ne vaut pour les
artistes comme pour leur public
l’immense ferveur dégagée par leur VRAIE présence.
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| La compagnie LUBAT (fête du PSU) |
C’est aussi le plaisir de la
performance et celui de se retrouver autour d’émotions communes.
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| Les MODEL'S argenteuil |